Production Folies Lyriques en coproduction avec la compagnie Les Gens du Quai
NOTE D’INTENTION
C’est l’histoire de cet homme qui voulant vivre ses rêves, se confronte à sa part d’ombre, à ce qui le hante. Il parle, chante, danse tango, nous emmène dans le voyage de sa vie.
Les souvenirs d’Armando, sa fantaisie, sa force, tour à tour dans un récit tendre, poignant , joyeux, insolent et réjouissant, emporte le spectateur dans sa fougue et lui donne envie de le rejoindre. Armando fait de l’autre sa plus grande richesse, sa voix réveille nos sens et nous donne le sentiment de notre plus pure existence.
Dans ce voyage tout en émotion Armando fait vivre aux spectateurs des sentiments bien différents. En passant par un récit où le bonheur, l’amour, la passion, le renoncement, la folie et la mort s’entremêlent de séquences en séquences, Armando Noguera se raconte mais c’est de nous tous qu’il parle.
C’est par l’interprétation de deux danseurs hommes que Anne Lopez choisira de mettre en mouvement les airs de tango. Le tango est né à la fin du XIX ème dans les faubourg de Buenos Aires, où les travailleurs imigrés se retrouvent en grand nombre. Pour s’amuser, se divertir ou se rappeler leurs terres d’origine, ces hommes dansent entre eux, mélangent leurs rythmes, leurs traditions et leurs chants. Et c’est ainsi que naît le tango : dans le barrios populaires de Buenos Aires, teinté d’un drôle de mélange entre habanera cubaine, candombe africain, danse gitane et chanson italienne…
Ici, la danse contemporaine ajoutera à ce mélange une dimension dramaturgique et narrative.
En arrière plan, les images réalisées par François Lopez soutiendront la narrâtn de ce voyage.
Ce spectacle dans une forme hybride, entre chant, danse, théâtre, image cinématographique à l’image d’un spectacle global s’appuie avant tout sur le sens profond que l’humanité est avant tout plurielle. C’est par la rencontre de l’autre, de l’étranger que l’être humain a le plus de chance d’en apprendre un peu plus sur lui-même.
Ce projet nous donne envie de travailler particulièrement à l’accessibilité de ce spectacle pour des personnes éloignées des théâtres, qu’ils soient en marge de la société ou contraints par leur handicap.
Des ateliers, et des moyens spécifiques à l’accessibilité seront développés pendant la création et avant chaque diffusion afin d’ouvrir toutes les possibilités de rencontres entre des artistes et des personnes en marge de la dimension culturelle.
Né en Argentine, citoyen français, Armando Noguera étudie au Teatro Colón de Buenos Aires puis intègre l’Atelier Lyrique de l’Opéra National de Paris. En 2005, il est finaliste du Concours International Operalia à Madrid, prix Zarzuela Concours Francisco Vinas Barcelone, 1er Prix Concours International de Paris et 1er Prix Concours International de Clermont Ferrand. Prix au meilleur Chanteur du cercle Carpeaux et AROP de l’Opera de Paris, Prix de la critique au Meilleur Chanteur Masculin 2018 Opera Chaser Award Australia. Très jeune, il débute au Teatro Colón en tant que Figaro dans Il Barbiere di Siviglia, Falke dans Die Fledermaus, ainsi qu’Aeneas dans Dido and Aeneas.
Rapidement, il est très demandé dans tous les répertoires de Monteverdi. S’il se produit régulièrement dans le répertoire mozartien, il a une prédilection pour
le répertoire italien. Il chante en effet avec beaucoup de succès Rossini, Donizetti, mais aussi Verdi, et Puccini et Leoncavallo.
Le répertoire français lui est aussi familier et il se présente dans des productions de Charles VI, Faust, Carmen, Djamileh Les Mamelles de Tirésias, L’Heure espagnole, Les Caprices de Marianne ou dans un répertoire plus léger La Vie parisienne, La Veuve joyeuse. En concert, outre de nombreux récitals dédiés au lied et aux mélodies au Brésil, en Argentine, Portugal, Suisse, USA et en France, on a pu l’applaudir à Seville , aux Chorégies d’Orange, en Suisse et Portugal,, au Teatro Colon de Buenos Aires ainsi que lors de multiples apparitions à la Tv française.
Sa carrière internationale le conduit à s’illustrer au Festival de Baalbeck, Festival de Glyndebourne, la Fenice de Venise, l’Opéra de Québec, l’Accademia Santa Cecilia de Rome. Il est également très présent dans les grands théâtres français comme en témoignent ses multiples apparitions à l’Opéra de Paris, Théâtre des Champs-Élysées, Opéra-Comique et dans les Opéras de Bordeaux, Lille, Montpellier, Marseille, Avignon, Toulouse, Strasbourg, Nantes.
Récemment, il a fait des débuts remarqués à Glyndebourne dans le rôle de Dandini (Cenerentola) ainsi que dans le rôle-titre dans Pelleas et Mélisande à l’Opéra de Nantes, Radio Symphonie de Cracovie.
Tout récemment Il chante Sharpless (Madama Butterfly) à l’Opéra National de Montpellier.
Parmi ses projets en 2022-23 : Sulpice (La Fille du Régiment) au Teatro La Fenice, Onéguine à l’Opéra de Massy Thoas (Iphigénie en Tauride) à l’Opéra National de Montpellier.
Commence la danse à Uzès en 1986 suit les formations de Sylvie Giron, Odile Duboc, Carlotta Ikeda, François Verret, Benoit Lachambre et Mathilde Monnier. Elle danse dans la compagnie Longitude implantée au Triangle à Rennes (1990) avec Roni Deruyver et Fréderic Vaillant. Poursuit sa formation au Conservatoire National de Région, Montpellier (1992-94). Danse pour Yann Lheureux pour De l’être chair (1995), et Laurent Pichaud (compagnie X-Sud) de 1996 à 2005, participe à l’événement Potlatch de Mathilde Monnier (2000).
En juin 2004, elle reçoit le prix de la SACD Nouveau talent chorégraphie pour l’écriture de la pièce De l’avant Invariablement (projet dance/web/europe). En juin 2007, elle répond à l’invitation de Daniel Larrieu pour la création d’un solo (Miss Univers) interprétée par Chiara Gallerani dans le cadre des Vif du sujet (SACD) Festival MontpellierDanse07. En Janvier 2007. Elle initie les ateliers « Pratique du spectateur » pour le CCN Languedoc Roussillon.
A partir de 2008, elle réalise des performances au Musée des Beaux arts de Nîmes, au Carré d’Art de Nîmes, au FRAC LR, au CRAC LR, à l’école préparatoire de Sète et aux Beaux Arts de Perpignan. En 2009, elle assiste Mathilde Monnier pour les reprises de City Maquette en tournée à Evry, Reims, Montpellier, Uzès, Woking (UK) et Paris.
Fonde la compagnie Les Gens du Quai avec François Lopez en 1994 et réalise une vingtaine de pièces dont la dernière La Brèche (2023).
La compagnie diffuse ses pièces en France et à l’étranger. Depuis 1993, elle mène des ateliers d’écriture chorégraphique autour de chaque spectacle diffusé dans les théâtres et festivals. Elle intervient régulièrement dans les écoles, collèges et lycées dans le cadre de Résidence d’Artistes mais aussi Sciences Po ainsi qu’à Centrale à Paris depuis 2011 dans le cadre des ateliers artistiques, à la termitière CDC Ouagadougou en 2010, à la maison d’arrêt de Nîmes en partenariat avec le théâtre de Nîmes, à l’école préparatoire des Beaux Arts de Sète (2007-2015). Régulièrement, elle assure des cycles de conférences performatives la danse à portée de main ou les pieds dans le plat pour les théâtres, les centres d’art, les musées, les festivals, les médiathèques, les congrès… Depuis 25 ans, elle mène une recherche et des projets chorégraphiques avec des personnes autistes. Elle est titulaire d’un DESS de psychologie clinique et psychopathologie – Université Paul Valéry de Montpellier.
Auteur du Film Les Géographes co-produit par Les Films Pénéloppe, France 3 et Les Murs d’Aurelle (2000).Auteur également du film 10 Petits Danseurs avec des enfants autistes pour le service d’accueil Le Sasje à Bagnols-sur-Cèze (2001).
Guitariste et compositeur argentin, formé au sein de la Escuela de Musica Popular de Avellaneda (Buenos Aires) et par des maîtres tels que Anibal Arias, Rodolfo Mederos ou Gustavo Beytelmann, Alejandro Schwarz étudie non seulement le style tango, mais aussi l’harmonie et le contrepoint. Passionné par le passé du tango, il ne cesse néanmoins d’imaginer le devenir de cette musique. En 1996, il fonde dans la capitale argentine l’orchestre El Arranque, En 2001, il s’installe en France. Il y accompagne, avec le groupe Tiempo Sur, la chanteuse Julia Migenes (Cour d’honneur du Palais des Papes, Châtelet). En 2004, il fonde, avec le bandonéoniste Victor Villena, le Quinteto El Después, qui rencontre un vif succès.
Compositeur et arrangeur pour ses projets personnels, reconnu dans le monde du tango, il développe aussi d’intenses
collaborations avec des groupes, des musiciens solistes et des chanteurs provenant d’univers musicaux différents, comme la diva japonaise Anna Saeki avec laquelle il s’est produit depuis 10 ans dans les plus prestigieuses salles du Japon.
Ses compositions et ses arrangements, joués dans de nombreux pays, ont été présentés, entre autres, au Festival de Tango de Buenos Aires (Argentine), au Loch Shiel Spring Festival (Ecosse), au Moritzburg Festival (Allemagne), ou dans le cycle de la BBC Discovering music, entre autres.
Diego Aubía se spécialise dans le répertoire de tango et de folklore argentin, après des études de piano classique au Conservatoire de Chascomús, sa ville natale. A Buenos Aires, à partir de 1992, il étudie l’harmonie avec Juan Carlos Cirigliano et il approfondit ses connaissances du folklore avec Hilda Herrera. De 1992 à 2004, il travaille comme professeur de piano, de solfège et il anime des ateliers d’ensembles au sein de la EMBA (Escuela de Música de Buenos Aires)
En 1996, il obtient le poste de pianiste titulaire de l’orchestre municipal de tango de Avellaneda. Ernesto Franco, premier bandoneón de l’orchestre de Juan D’Arienzo, lui propose le poste de pianiste dans son Grand orchestre. Il accompagne les chanteurs Raúl Lavié, Néstor Fabián, Fernando Soler et Guillermo Fernandez.
En 2004, il s’installe à Paris. Juan José Mosalini lui propose le poste de pianiste de son Grand orchestre et du Quintette Mosalini et l’associe à la création du spectacle « Noche Tango ». Un double CD-DVD de ce spectacle a été enregistré (Alma de tango, 2015, label Accords croisés). Il travaille avec les compagnies Plan B, Otango et Tango Metrópolis et il est l’invité du quintette de Daniel Binelli.
Il partage la scène avec les chanteurs Ariel Ardit au Théâtre du Châtelet à Paris et Claudia Panone lors de tournées à travers la France et l’Espagne.
Avec le guitariste et compositeur Alejandro Schwarz, il réalise quatre tournées au Japon et accompagne la chanteuse japonaise Anna Saeki avec laquelle il enregistre plusieurs disques.
En 2008 il crée, avec Nicolas Peyrat y Marisa Mercadé, le trio « Nada Más » avec lequel ils se produisent dans des salles de concert et des festivals dans toute l’Europe. En 2015 ils sont invités au Festival International de Tango de Buenos Aires.
En 2018 l’orchestre Demos de la Philharmonie de Paris l’invite à participer à un projet pédagogique dédié́ au tango.
En 2018, avec Juan José Mosalini et Nicolas Peyrat, il fonde le trio Mosalini-Aubia-Peyrat. Après plusieurs concerts en Europe, le trio réalise une tournée en Argentine, jouant notamment au Centro Cultural Kirchner de Buenos Aires et à la Usina del Arte dans le cadre du Festival international de tango de Buenos Aires.
Au cours de la dernière décennie, il joue dans les salles les plus prestigieuses du monde : Konzerthaus de Vienne, la Philharmonie de Dresde, le Théâtre Mohamed V de Rabat, Konzerthaus de Berlin, Nuovo Teatro dell’Opera di Firenze, la Philharmonie de Luxembourg, la salle Finlandia de Helsinki, la Tonhalle de Düsseldorf, Bulgaria Hall à Sofia, la ElbPhilharmonie de Hambourg, Bunkamura Orchard Hall de Tokyo, le Théâtre du Chatelet et le Théâtre de Chaillot à Paris.
Il Commence à étudier le bandonéon diatonique au Conservatoire de Gennevilliers dès l’âge de huit ans avec le grand maître argentin César Stroscio, co-fondateur du Cuarteto Cedron. Il débute sa carrière professionnelle à l’âge de 18 ans et multiplie les expériences dans différents groupes avec lesquels ils sillonnent la France. Ensuite il obtient le premier prix de bandonéon à l’unanimité et félicitations du jury en 2004. Cette même année il part vivre en Argentine pour se perfectionner dans l’art du bandonéon et du tango auprès du maestro bandonéoniste Julio Pane et divers groupes.
De retour en France il intègre le grand orchestre de Mosalini avec qui il jouera dans les salles les plus prestigieuse de France et d’Europe (les Konzerthaus de Vienne et de Berlin, Philharmonies de Hambourg et du Luxembourg,, Comédie de Reims, Arsenal de Metz, Filature de Mulhouse, MC2 à Grenoble… ) Il collabore également avec de nombreux artistes issus de différents univers musicaux : pour le jazz Pierre-Marie Bonafosse, pour le tango la liste est longue Alejandro Schwarz, Anna Saeki, Gustavo Gancedo,Gabriel Vallejo, Miguel Garau,Julien Blondel, Andrea Marsilli, Alfonso Pacin, Pino Enriquez, Barbara Luna, Oscar Cisto, Juan-José Mosalini, pour la poésie : Paul Dirmeikis, pour le cinéma: le compositeur Phillipe Miller ,pour la danse :le chorégraphe et danseur François Chaignaud et le metteur en scène Nino Laisné dans le spectacle Romances Inciertos en tournée à l’heure actuelle en France et dans le monde entier (Avignon,Australie,Japon,Italie,Espagne…).Il participe aussi à de nombreux shows et tournées à l’étranger comme par exemple Tanguera durant un mois au théâtre du Châtelet à Paris, et fait 4 tournées au Japon avec la chanteuse japonaise Anna Saeki entre 2011 et 2017.Par ailleurs il donne des concerts en tant que soliste dans différents groupes ou orchestres en Europe : Allemagne, Belgique, Suisse, Italie,Espagne,Roumanie ,Pologne,Slovénie,Lituanie,Finlande,Turquie,Algérie, Maroc,Tunisie…
Passionné de créations il est à l’initiative de nombreux spectacles dont French Tango Connection où il compose toutes les musiques dans un style de tango actuel (influence jazz, rock, pop…) Il collabore également avec différents groupes de musique classique ou baroque dont le célèbre Quatuor Voce ou le prestigieux gambiste François Joubert-Caillet.
Passionné également de musiques de Bretagne où il vit actuellement, Jean-Baptiste Henry fut invité par Denez Prigent dans son dernier nouvel album « Stur An Avel » et l’accompagne régulièrement sur les scènes bretonnes depuis2021 comme au festival de Cornouaille ou à la 50éme du FIL ,festival Interceltique de Lorient, Francofolies 2022
Intéressé par la pédagogie il a enseigne de 2002 jusqu’en 2022 le bandonéon aux CRD de Gennevilliers
Né à Buenos Aires en 1985 est un artiste multidisciplinaire. Danseur, professeur de tango, diplômé en linguistique et chorégraphe, Matias a tracé un parcours atypique au croisement des disciplines entre l’Europe et l’Argentine.
Formé dans les lieux traditionnels de tango à Buenos Aires, il nourrit une réflexion théorique et artistique singulière. Matias a pu apprendre le tango auprès de prestigieux maîtres de la tradition orale de cette danse. En suivant l’axe d’analyse de la danse comme un langage, Matias a trouvé une formulation singulière pour aborder la danse du tango de manière artistique et théorique, avec un regard raffiné et profond loin de tout cliché.
Comme chorégraphe, Matias développe depuis 2012 diverses créations. Il a travaillé en collaboration avec : le Tanztheater Pina Bausch (pour la reprise de la piéce Nur Du, 2011/2012) , la Foundation Pina Bausch (pour l’exposition Pina Bausch au Bundeskunsthalle, Bonn), la compagnie Incidence Chorégraphique (danseurs de l’Opéra national de Paris), le ballet de l’Opéra de Leipzig, la compagnie Les Choses de Rien, la Fabrique Autonome des Acteurs et autres compagnies indépendantes.
Repéré par le CCN Mulhouse / Ballet de l’Opéra national du Rhin, en 2017 Matias est invité à une série des collaborations : il participe à l’Atelier (résidence de recherche), il signe la scénographie du programme « Danser Bach au XXI » (chorégraphie de Chaix, Bouché et Mercy), il fait des courtes pièces pour la compagnie et, à la demande d’Eva Kleinitz et Bruno Bouché, il signe la mise en scène et chorégraphie de l’opéra tango « Maria de Buenos Aires », d’Astor Piazzolla et Horacio Ferrer. Captée et diffusée sur Arte, la pièce lui a permis de rendre visible une recherche mettant en jeu plusieurs codes et formes esthétiques, au-delà du tango.
En parallèle, Matias a inventé un système pour écrire la danse de tango. Entre la danse et la linguistique, Matias a crée son propre système de notation du mouvement en 2013 et il a publiée trois livres autour de ce sujet : en 2016 la version en espagnol du système, en 2017 la version en français, et en 2018 un étude autour de son analyse du mouvement pour le tango. Cette démarche nourris une partie important de ses questionnements en danse et les possibilités de transposition des éléments constitutifs du tango vers des autres domaines.
Basé à Paris, Matias Tripodi est un artiste singulier dans l’horizon du tango contemporain de nos jours et de la danse.
Après des études d’audiovisuel et quelques temps passés à l’université de la Sorbonne, il intègre en 2007 la formation ex.e.r.ce co-dirigée par Mathilde Monnier et Xavier LeRoy au CCN de Montpellier. Il danse pour Yann Leureux, Laure Bonicel, Anne Lopez, Tania Carvahlo Mathieu Hoquemiller, Tatiana Julien. Parallèlement il développe un travail personnel autour de concert et de performances « MontÂgne » 2006, « Ball » 2008 en collaboration avec Nele Suisalu.
Il collabore avec la compagnie les Choses de Rien et crée « Mouvinsitu» un projet audiovisuel et performatif au croisement entre danse, cirque et cinéma. Cette recherche aboutie à une série de courts métrages liés à une installation puis à la création d’une pièce chorégraphique s’intitulant « Bienheureux sont ceux qui rêvent debout sans marcher sur leur vie ».
En 2013, il rencontre le Théâtre Dromesko avec qui il collabore encore. Il intervient régulièrement en regard chorégraphique et à la mise en scène : La compagnie Amare (mise en scène de Quizas), Les Bourgois de Kiev (Two be // et si nos ombres pouvaient parler) en Cirque avec Pier Georgio Milano (Pesadilla et White out) et avec Valentina Cortese (Lento)
FRANÇOIS LOPEZ – Compositeur, Musicien, Réalisateur, Scénographe, Performer
Musicien autodidacte membre fondateur du groupe Clandestins (1983-1992), En 2004 fonde le groupe rock SUPREMATIC.
Actuellement, il se produit sur scène en solo avec son Concert intime et sauvage. Compositeur et fondateur de Burden (projet de musique électronique). Compositeur, musicien et interprète de la compagnie Les gens du quai. Il crée pour des créations de Michèle Murray, de la compagnie Didier Théron, travaille également avec Yves Noel Genod , compose pour Lluis Ayet & Rita Quaglia. Concepteur et performer de Téléscopage Insolite au Carré d’Art Musée d’Art Contemporain de Nîmes pour la Nuit Européenne des Musées 2012 et au Musée de Lodève 2012.
En tant que réalisateur anime la classe artistique du Collège Les Escholiers de la Mosson. Musicien sur le spectacle interactif multimédia Cheat Mode. Réalisateur pour la performance filmée Les Cuisines du film Documentaire de et avec Caroline Champion (Carré d’Art – 2011).
Scénographe pour Andromakers duo electro pop (34 Tours 2010). Compositeur en résidence au Lycée agricole de Narbonne.
Réalisateur de films et vidéos institutionnels à Marseille, sur M6, France 3 . Réalisateur et producteur de Menace-TV (chaine web 2008-2018).
En 2023 il sera scénographe pour Bugsy Malone à l’opéra Comédie pour la classe opéra Junior de l’Opéra de Montpellier.